La L-carnosine est présente naturellement dans les muscles et le cerveau. Elle a suscité un intérêt particulier dans la recherche scientifique en raison de son potentiel rôle dans la réduction de la glycation. La glycation est un processus au cours duquel des sucres réagissent avec des protéines, lipides, formant des produits de glycation avancée (Une image simple à retenir serait celle du sucre qui se caramélise dans une casserole. Avec un corps à plus ou moins 36.1° à 37.8° le sucre et ses différentes formes se caramélise sur les fibres musculaires, nerveuses etc. ce qui contribue au vieillissement cellulaire et implique le développement de diverses maladies dégénératives, notamment le diabète, les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives.

La L-carnosine et les cellules de votre corps:

Un supplément en L-Carnosine augmentation de près de 25 % du nombre de divisions cellulaires pour chaque cellule.

Mais en termes de durée de vie des cellules, l'augmentation est incroyable : 300 %. Les cellules transférées dans le milieu à base de carnosine ont atteint une durée de vie de 413 jours, contre seulement 126 à 139 jours pour les cellules de contrôle sans L-Carnosine.

MON EXPÉRIENCE AVEC LA L-CARNOSINE.

Personnellement je prends de la L-CARNOSINE et les autres ingrédients depuis plus de 10 ans ce qui me donne un look de 15 à 20 ans de moins que mon âge (c'est le point de vue des personnes qui évaluent sur mon âge). Je prend en plus du complexe L-CARNOSINE des molécules de signalisation Redox (https://1800516300.myasealive.com) qui sont indispensables pour une bonne utilisation de la L-CARNOSINE, L-CARNITINE, DMAE et du collagène marin.  Ce COMPLEXE L-CARNOSINE vous évite de prendre ces 4 ingrédients de façon séparé. Son assimilation en poudre dans un peu d'eau ou de jus sans sucre est immédiate. Vous pourrez en ressentir son effet à jeun par de très légers picotements non désagréable.

McFarland, G.A., R. Holliday. “Retardation of the Senescence of Cultured Human Diploid Fibroblasts by Carnosine.” Exp Cell Res 212:2 (1994): 167–175. <http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8187813>